Finalement on sait jamais trop où on va. Ce que l'on devient.

Je retrouve le mal dans les mots, les maux dans la tête et le coeur qui s'éventre.
Je sais que tu as froid, au loin, perdue dans un labyrinthe, ce jeu auquel tu n'as jamais voulu jouer.
Je retrouve le passé qui passe, qui s' agrafe, s'écorche et me saigne.
Des rivières rouges, s'écoule la vie, perdue entre deux eaux toi tu délaisses ton corps, entre la mort et les maux.
On peut s'abandonner, s'effleurer de loin, pour être sûr de ne plus jamais nous toucher.
Je peux t'abandonner, te perdre comme l'on perd la vie dans un tourbillon infini.
Les spirales on les connait, les cahiers, les regrets...

[Mais] tout n'est pas que du passé.



On peut tout perdre pour des conneries visiblement.



Publié par Mathias, le Dimanche 24 mai 2009 à 22:15

Par Heart.Of.St0ne le Mardi 26 mai 2009 à 16:49
je suis d'accord ...
 

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