[...]


De vos jours et de mes nuits
De ces secondes que je n'oublie
Coincé dans le tunnel de vos folies
Etre prisonnier de sa propre vie

Regarder dehors, par la fenêtre
Voir ce que l'on a jamais pu être
Les secondes qui marchent, qui courent
Jusqu'à atteindre le non retour

Cette fin qui nous reveille
Ce début où l'on s'éveille
Et ce milieu, que l'on décore
Triste sapin que l'on arbore

Une étoile, si haute
Qu'il est difficile d'y accéder
C'est comme tes rêves
Que tu t'éforces d'éloigner

Tu continues à esperer
Gentiement tu pleures
Mais restes cachée
A les voir chacun à leur tour se briser




Nan j'déconne.


 

Publié par Mathias, le Samedi 11 juillet 2009 à 20:43

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