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De vos jours et de mes nuits
De ces secondes que je n'oublie
Coincé dans le tunnel de vos folies
Etre prisonnier de sa propre vie
Regarder dehors, par la fenêtre
Voir ce que l'on a jamais pu être
Les secondes qui marchent, qui courent
Jusqu'à atteindre le non retour
Cette fin qui nous reveille
Ce début où l'on s'éveille
Et ce milieu, que l'on décore
Triste sapin que l'on arbore
Une étoile, si haute
Qu'il est difficile d'y accéder
C'est comme tes rêves
Que tu t'éforces d'éloigner
Tu continues à esperer
Gentiement tu pleures
Mais restes cachée
A les voir chacun à leur tour se briser
Nan j'déconne.