*
Elle avait son stylo gravé sur le papier
Des larmes venues de nulle part qui ne cessaient de couler
*

Il y a des anges qui virevoltent innocents
Ombres chinoises portées sur les murs des parents
Qui regardent, imbéciles, les douleurs enfantines

Il y a une vie sans boussole, qui déambule
Une vie aux allures d'alcoolique ridicule



Publié par Mathias, le Dimanche 28 septembre 2008 à 21:55

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