C'est un soir, comme celui la, que des mots peuvent apparaître

Ils viennent de loin, très loin, parfois poussent au mal être

Mais de la tête qu'ils émergent, affichent leur lieu de naissance

Pour ne jamais disparaître ailleurs que dans tes yeux en silence

 

La nuit, la vie se perd, sans lumières

La vie qui pleure parfois, qui meurt sans repères

Ne demande qu'à renaître au plus profond de mon cœur

 

Quand on veut on peut ! dit-on

Je n'ai pas su couper les barreaux en prison

Ni même courir me jeter à tes pieds ou sauter d'un pont

J'voudrai m'offrir la liberté de vivre sans questions

 

La nuit, la vie se perd, sans lumières

La vie qui pleure parfois, qui meurt sans repères

Ne demande qu'à renaître au plus profond de mon cœur

 

Il est des gens, des sensations, admirations inaccessibles

Qui nourrissent l'espérance de jours meilleurs

Et parmi les étoiles subsiste l'espoir invisible

De quitter le monde que l'on déteste pour vivre nos rêves d'ailleurs

 

 

Mon rêve, ce rêve, tu le connais

C'est venir te rejoindre pour ne plus jamais te quitter..




Publié par Mathias, le Dimanche 16 décembre 2007 à 12:48

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