La vérité je l'aperçois au loin
Je la vois je te dis, je la vois

Il fait sombre ici,
Il fait froid.

La vérité tout la bas illumine
De sa lumiere blanchâtre
La vérité m'éblouis gentiement
Mais m'écoeur par son goût âpre

Il fait sombre, il fait froid
Il fait seul aussi, cela va de soi.

Il fait nuit sans toi.

Un jour se déchaine, m'enlève
De ces choses qui m'échappent
De ces choses qui m'arrachent
Qui m'crèvent

Ca pleure en moi
C'est dur parfois

Le silence qui s'opère
Ce silence, si vulgaire

Il y a comme une fin écrite
Le genre de fin qu'il ne faut dire

Jouer, et perdre.


Perdre.



Publié par Mathias, le Mardi 18 décembre 2007 à 21:53

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